Mercredi 20 et jeudi 21 mai 2015 :
Et voilà le voyage touche à sa fin, on navigue vers Sète que l’on atteint le matin à 11H00, les formalités douanières se passent sans encombre, et on se sépare avec Stéphane.
Mercredi 20 et jeudi 21 mai 2015 :
Et voilà le voyage touche à sa fin, on navigue vers Sète que l’on atteint le matin à 11H00, les formalités douanières se passent sans encombre, et on se sépare avec Stéphane.
Mardi 19 mai 2015 :
Après la grosse journée de la veille il ne nous reste que 100 km pour rallier Tanger et prendre le yacht, alors on flâne sur la côte :
Lundi 18 mai 2015 :
On passe par un village au style Suisse : Ifrane. C’est une station d’hiver, et où il y a le palais d’été du roi, pour qu’il soit au frais. Les maisons sont de type européennes, avec des toits en tuiles rouge.
On mange un tajine pour changer :
Dimanche 17 mai 2015 :
Bien dormi même si réveillé par quelques fêtards qui braillaient sous nos fenêtres.
Petit déj sur le toit du Ryad, il n’y a pas de vent ce qui est exceptionnel pour Essaouira, il fait vite chaud :
Samedi 16 mai 2015 :
Jeudi 14 et vendredi 15 mai 2015 :
Tout est dit dans le titre, le seul sport pratiqué est d’éviter de participer aux animations.
Mercredi 13 mai 2015 :
On règle l’hôtel et en fait le prix était pour 2 et pas par personne!
On prend la direction d’Agadir en passant par une vallée remplie de palmeraies :
Comme souvent les femmes se tuent à la tâche, travaillent dur dans les champs en plein cagnard et portent de lourdes charges sur la route pendant que les hommes font les beau à la buvette du village.
Mardi 12 mai 2015 :
Nos hôtes n’ont pas besoin de chambre ni de clim :
Lundi 11 mai 2015 :
Réveil à 6H15, le vent est tombé, on plie les tentes, et on met le plan à exécution, Stéphane démonte sa batterie, je bricole mon câble, mais reste dubitatif quand à sa section que je trouve bien faiblarde, j’ai peur de cramer les câbles sans réussir à démarrer. Finalement au bout de 2 coups de démarreur ça marche sans tout fumer! On en bave pour sortir la moto de son bac à sable mais on y arrive en mettant des branches sous la roue arrière, et c’est reparti!
On tourne un peu pour reprendre la piste de Tafraoute Sidi Ali, il y a encore quelques passages de sable mais on s’en sort, les villages que l’on traverse sont occupés par des Berbères, la peau beaucoup plus sombre, on voit bien la différence avec les Marocains du nord.
Les petits Berbères : (ils n’ont pas la vie facile les pauvres)
Dimanche 10 mai 2015 :
Continuer la lecture de Quand t’es dans le désert, depuis trop longtemps!